Depuis son plus jeune âge Laura suit des nombreux cours de théâtre, danse et musique à Barcelone. C’est après d’être diplomée d’une Licence en Communication Audiovisuelle qu’elle décide de s’installer à Paris pour réaliser l’École Internationale de Théâtre Jacques Lecoq (2008-2010).

À la sortie de l’école elle fonde avec 37 autres élèves de la promotion, la compagnie 38CIT. La première création Ne parlez jamais avec des inconnus sera jouée au Théâtre du Soleil en décembre 2012. En 2013 elle fonde, avec Georges Vauraz, la Compagnie ito ita et crée le spectacle La grande fabrique de mots, spectacle jeune public joué plus de 200 fois et nominée deux fois aux Ptit’s Molières (Meilleur jeune public et Meilleure scénographie). Parallèlement elle travaille pour des productions cinématographiques en tant que comédienne et soucieuse de parfaire son jeu et découvrir des nouvelles techniques elle continue à suivre différents cours, dont le Laboratoire de l’Acteur sous la direction d’Hélène Zidi.

En 2016 elle intègre la Compagnie des ô pour jouer le spectacle Fracasse, avec lequel elle tourne dans toute la France, la Suisse ou la Belgique. En 2019, encore avec la Compagnie ito ita, ils créent leur nouveau spectacle, Mademoiselle Gazole.

Noé découvre le théâtre avec Jean-Paul Bourreau et Marcel Guignard au Théâtre du Pilier à Belfort. À 9 ans il rencontre Anne Fontaine qui lui confie le rôle de Pierre, fils de Miou-Miou et Charles Berling dans son long métrage Nettoyage à Sec. Il continue de se former à Besançon, Montréal, puis Paris à l’École Jean Périmony, avec Arlette Téphany, Thierry Harcourt, Isabelle Rattier, Jean Périmony, etc. Artiste interprète complet, il se forme au chant avec Amy Lavietes et Marina Albert au sein d’Acte Voix, au chant choral avec Nima Santonja (Choeur à l’Horizon), puis également à la danse, aux claquettes (Victor Cuno), au rock’n’roll, à la guitare, à l’escrime artistique. Depuis 2013 il joue des spectacles contemporains, classiques, familiaux, musicaux et/ou bilingue anglais.

Dès son plus jeune âge, Marc Granier s'initie puis donne pendant quatre ans des cours de théâtre en milieu scolaire par le biais de l'association charentonnaise « Au petit théâtre ». Il s'investit également dans plusieurs projets musicaux grâce à sa formation de guitariste au conservatoire Guy Dinoird (2003-2012).

En 2013, en parallèle de son année de terminale, il suit les cours Cochet sous la direction de Caroline Darnay et joue dans différents courts-métrages tels que Michel réalisé par Corinne Garfin ou Héro de W.S Touitou. Passé son baccalauréat, il rentre au conservatoire du XIème arrondissement où il suit l'enseignement de Philippe Perrussel pendant quatre ans. Durant cette période, il joue dans Le songe d'une nuit d'été de William Shakespeare (m.e.s May Roger – 2014), Numéro d'équilibre d'Edward Bond (m.e.s Mathilde Chadeau – 2016) et met en scène Sallinger de Bernard-Marie Koltès. Il joue également dans la web-série Les Dieux des hommes réalisée par Maxime Potherat.

En Juillet 2017, il participe à un stage de masque neutre à l'école Jacques Lecoq dont il intègre les cours professionnels l'année suivante. Cette même année, il joue dans Macbeth mis en scène par Antoine Perez, ainsi que dans Bonus écrit et mis en scène par Bertrand Lagnès. Soucieux de diversifier ses expériences, il est admis dans la classe de chant lyrique de Julie Hassler au Conservatoire Charles Munch, et participe au Medium de Menotti et au Bataclan d'Offenbach, opéra de chambre et opérette mis en scène par Margaret Fazoline.

En 2019, il co-fonde les Hauts Plateaux, ainsi que la Compagnie BPM au sein de laquelle il écrit et met en scène le spectacle FRANTZ, qui jouera au Théâtre des Déchargeurs, puis La Scala Provence.

C’est au collège qu’elle fait ses premiers pas sur les planches avant d’intégrer en 2004 le cours Florent, pour y suivre une formation de quatre ans. Elle y suit notamment les cours d’Acting in English de Lesley Chatterley avant de devenir son assistante en 2006.

Elle crée la Compagnie des Aléas en 2008 au sein de laquelle elle met en scène et joue différentes pièces d’Israël Horovitz: Le Premier (atelier primé à Florent, Festival Off d’Avignon 2008 et 2012, reprise en 2013 au Poche-Montparnasse), Horovitz (mis) en pièces (Festival Off d’Avignon 2011 et 2012), Phone Tag (Festival Off d’Avignon 2014 et 2015, Théâtre des Béliers Parisiens), mis en scène par Adrienne Ollé.

En 2009, elle joue dans La Lucarne de Jacqueline Harpmann, au Funambule-Montmartre. Depuis 2010, elle interprète le rôle de Jackie dans les spectacles pour enfants, Jackie and the Giant, et Jackie and the Horrible Family. En 2014, elle met en scène un montage de textes de Boris Vian dans un duo musical intitulé Je voudrais pas crever (Festival Off d’Avignon), et joue dans Alpenstock, de Rémi De Vos, mis en scène par Chloé Ponce-Voiron au sein de la compagnie NAOPS. En 2015, elle co-écrit le spectacle bilingue Charlie et la Water Queen avec la compagnie Koalako. En 2018, elle crée et joue Made in America, un ensemble de pièces inédites de Niel LaBute au Théâtre du Train Bleu à Avignon. Par ailleurs, elle anime depuis plusieurs années des ateliers de théâtre en anglais pour enfants et adolescents au sein de sa compagnie et enseigne à des adultes amateurs au Cours Clément.

Aïda Hamri se forme au Studio Muller sous la direction de Jocelyn Muller de 2015 à 2018. Depuis sa sortie d'école, elle travaille avec différentes compagnies et metteurs en scène : Kheireddine Lardjam (Mille francs de récompense / V.Hugo), Jules Lecointe (Les Mains Sales de Sartre), la KYGEL compagnie avec Karim Yazi et Emma Fallet (Fierté d'Héloïse Desrivières). Elle joue également dansVivaces d'Héloïse Desrivières, commande de l'université de Nanterre à partir de témoignages de jeunes de quartiers populaires (m.e.s Guy La France), et travaille pour le Théâtre de la Vallée avec Gerold Schumann (La grande buée de René Fix), la compagnie Chantier Public sous la direction de Nathalie Dut (Les Séparables de Fabrice Melquiot) en Avignon, Jamila Bensaci (Une rose au milieu des ruines) et Françoua Garrigues (Etats de chocs de Marie-Pierre Cattino et Camille Davin).
Elle participe également à des stages d'interprétation avec Francois Rancillac et Frédéric Fisbach. De 2019 à 2021 elle prend des cours de chants particulier avec Marina Albert et Amy Lavietes, organisme Acte Voix.

En 2019, elle rejoint le collectif des Hauts Plateaux. Ils y rêvent un théâtre populaire, exigeant et accessible à toutes et à tous. Mue par cette volonté, Aïda travaille également auprès des publics éloignés des salles de théâtre, notamment les personnes âgées en maison de retraite. Elle y mène plusieurs actions culturelles avec la Cie du Cerf-Volant, sous forme de représentations et d'ateliers théâtres.

Après 2 ans à l'école Les Enfants Terribles (Jean-Michel Dupuis, Patrick Raynal) et 1 an au conservatoire du 19ème arrondissement (Eric Frey), il fait ses premiers pas sur la scène du Théâtre Montparnasse dans La Dame de la mer d’Ibsen (mise en scène de Jean-Romain Vesperini) aux côtés notamment de Jacques Weber et Anne Brochet. Suite à cette exploitation remarquée, il est engagé par le Théâtre National de l'Odéon dans Ivanov de Tchekhov (mise en scène par Luc Bondy) pour jouer aux côtés de Micha Lescot et Marina Hands.

Il poursuit aujourd’hui son parcours au sein de la Compagnie du Crépuscule menée par David Antoniotti avec qui il collabore dans Deux Frères de Fausto Paravidino et Souliers De Sable de Suzanne Lebeau.

Côté caméra, il met le pied à l’étrier en jouant dans plus d’une vingtaine de court métrage avec des écoles de cinéma (CLCF, FEMIS, EICAR, 3IS), rencontre Matthias Couquet sur le film de dark fantasy Les Appelés et continue sa route au côté de la vision cinématographique de Victor Boulenger (Hamburger, Coagulum, Adieu jusqu'au revoir, Sourdingue). Il joue dans le long-métrage d'Emma Luchini, Un Début prometteur au côté de Manu Payet et donne le change à Andranic Manet et Corentin Fila dans Mes Provinciales de Jean-Paul Civeyrac.

Audrey Bertrand se forme comme comédienne au SEL à Sèvres avec Karine Catala, puis à l’Ecole Artefact. Elle jouera notamment dans Le Songe d’une nuit d’été au SEL, La Cantatrice chauve au Palais des Glaces et la création Liquidation Totale : tout va disparaître en Avignon OFF.

À 21 ans elle crée sa compagnie et signe sa première mise en scène, Morts sans sépulture de Jean-Paul Sartre. La pièce connaîtra trois ans de tournée à Paris, en France et en Suisse. Suivront alors Les Parapluies mouillés de Martine Delerm, Frontière Nord de Suzanne Lebeau puis en juillet 2016 deux opéras, Le Téléphone et Le Médium de Gian Carlo Menotti à Neuchatel.

Avec des élèves en décrochage scolaire elle monte quatre pièces au TARMAC, Ça Bouge d’après Micro-Frictions de Gustave Akakpo en 2016, Histoires Vraies en 2017 puis La Revanche de Médée en 2018, écritures collectives dirigée par Hakim Bah et La Fumée de Bruit écrit par Edouard Elvis Bvouma. Elle participe aux 10 ans du Festival Migr’Actions du Théâtre de l’Opprimé en mettant en scène FRATER-NITE de Noé Pflieger, puis met en scène  Balle(s) Perdue(s) ? de Philippe Gauthier, pièce sélectionnée OCCE et THEA, à l’Etoile du Nord à Paris en 2018 puis en tournée, ainsi que Micro Frictions de Gustave Akakpo, projet soutenu en résidence par le TARMAC.

Elle intervient également en tant qu’assistante metteur en scène et comédienne avec le Théâtre du Chaos. Co-fondatrice du collectif La Bande à Léon, elle a créé la « Classe Théâtre » dans deux collèges parisiens, et s'engage sur le terrain, auprès de différents publics afin de transmettre un geste artistique et créer des débats citoyens par le biais du théâtre. Ses actions culturelles, en lien avec ses propres créations artistiques, sont encadrées par des structures telles que le TARMAC, le 104, le Théâtre de Brétigny, le TANGRAM, Scène nationale d'Evreux, etc...

Elle travaille activement avec la Compagnie Octavio en collaboration avec Gilles Ostrowsky et Sophie Cusset sur deux projets  : King Lear Remix d'Antoine Lemaire et Wonder Woman enterre son papa (Théâtre de Belleville, CDN Sartrouville, ect.)

Sa dernière création, La Mer de Poséidon en caddie de Vhan Olsen est inspirée de multiples actions territoriales menées sur le territoire du Cœur D'Essonne et d'un travail d'écriture avec l'auteur et le Collectif la Bande à Léon.